Un projet qui marche

Plus de 30 années d’expérience permettent de l’affirmer, avec près de 600 familles en majorité autonomes.

Un projet ouvert : les bénéficiaires, volontaires, ne sont pas « ghettoïsés », mais parfaitement intégrés aux communautés voisines avec échanges permanents des savoir-faire, et accessibilité pour les paysans alentour aux installations ASA : écoles, dispensaires, église, silos, pépinière…

Un projet malgache : adapté à la culture et aux moyens du pays. Le gouvernement malgache appuie ce projet. L’Etat voit la possibilité de réinsérer des populations urbaines ou rurales totalement marginalisées, et de contribuer ainsi à l’effort de développement national. C’est ainsi que l’ASA a reçu de l’Etat 15.000 hectares de terres dans le Moyen-Ouest pour y installer ses villages. L’ASA a reçu en 2010 du gouvernement malgache la reconnaissance d’Utilité Publique.

Un projet exigeant : demandant dès le départ de gros efforts aux familles, des contraintes d’engagement loin d’un simple assistanat.

Il s’adresse à des familles et non à des individus isolés. Il y a donc une dynamique basée sur l’avenir des enfants. C’est ce que valorise la pédagogie vigilante et constante des encadreurs. Ceux-ci s’emploient à préparer cette nouvelle vie de paysans ou artisans autonomes, autant dans les esprits que dans les corps et les apprentissages.

Il s’appuie sur tout un réseau de soutien, en France, par l’intermédiaire de 15 associations réparties sur le territoire.